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    C'est quoi un blogue ?

    Blogue en français, blog en anglais. Le terme provient bien sûr....de l'anglais, de la contraction de mots web et log. C'est un journal de bord sur internet, une sorte de site internet, personnel, qui permet à tout le monde de publier textes, images, photos et même vidéo, sur un espace du web, qu'on choisit ouvert au grand public ou restreint à quelques proches. Pour en savoir plus, taper blogue ou blog dans un moteur de recherche, et prévoir quelques heures de surf devant soi ! J'y ai fait quelques belles découvertes. On est en train d'inventer un nouveau vocabulaire pour traduire les activités crées autour du phénomène. Etre ou ne pas être dans la Blogosphère, être un blogueur, choisir un photoblog plutôt qu'un videoblog... A décliner !

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    J'ai entendu Sandrine Kiberlain

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    J'avais repéré il y a quelques temps, dans le programme du festival que Sandrine Kiberlain (je savais qu'elle s'était lancée dans les airs) donnait un concert aux Franco. Les franco, pour Francofolies de Montréal, c'est L'Evénement francophone estival de la ville. Il invite chaque année auteurs, compositeurs et interprète de tout gabarit, se consacrant au français. Les autres festivals ont le droit d'être bilingues, trilingues, et même de ne pas parler une goutte de français, mais celui-là, celui-là existe par ou pour la langue de Molière.
    Alors, samedi dernier, le 17 juin, après avoir trainé des pieds, je suis allée voir le concert. Je dis trainer des pieds car après l'enthousiasme de la veille, qui me fit acheter le ticket par téléphone, lorsque le moment fut venu, une grande flemme avait pris la place ! Le concert proposait deux artistes : Sandrine, en dernier, et Jérémy Kisling, un illustre suisse. Malgré le peu de sympathie pour les suisses après le 1er match nul (à tout point de vue) de la France en Coupe du monde, je me suis surprise à sourire. C'est que le personnage, qui chantait en compagnie des "Oursons", ses camarades musiciens, avait un sens de l'humour plutôt aiguisé. Finalement, rien de transcendant dans sa prestation, je crois que j'ai presque davantage apprécié son humour à ses chansons, mais qu'importe, le clou du spectacle venait après.
    Quant à Sandrine, que dire, si ce n'est que l'admiration que j'ai pour son travail de comédienne devait être largement partagé par la salle ! Là encore, rien de transcendant, si ce n'est la fierté de voir cette française sur une scène de Montréal, et à voir son attitude, parfois un peu impressionnée, parfois un peu star, ses gestes plutôt disgracieux, mais concentrés, on ne pouvait qu'être touché par la prestation. Un bon sens de l'humour aussi, une jolie voix, une très sensible interprétation de Rime de Nougaro... Et quelques mélodies personnelles interprétées et déjà fameuses grâce à la radio. Une belle soirée en somme, la fierté en plus, d'être allée voir le spectacle, envers et contre tous (toute seule pour ainsi dire) et celle, non moindre, de pouvoir dire que j'étais là, à l'un des premiers concerts d'une star du cinéma français. Ce que j'aime bien aussi, c'est le message qu'elle fait passer sur scène comme dans ses interviews, on peut toujours recommencer, changer de cap, découvrir, se découvrir, faire ce qu'on aime, peu importe les embûches et peu importe les critiques. Quand on a foi en soi, on peut tout faire. Et à la voir interpréter son petit tour de piste intitulé ironiquement par Sandrine Kiberlain elle-même, "petite danse", on se dit, qu'en effet, tout est possible, quand on a la volonté et la passion. Elle est décidément sympathique, chaleureuse, elle a l'air accessible, et elle a l'air de se plaire dans ce nouveau rôle qu'elle s'est taillé sur mesure !

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    As sympathetic as unexpected

    Today was our tenth and last News and Feature writing lecture. While I walked down the street towards the metro station, I catched up on the street with 3 other students. As I greeted them, one asked if I would join the team to have a drink, and I heard myself answering "why not ?". I hardly knew them since this course was the only one I attended this semester and since the atmosphere didn't much help meeting. So there we met, after our last class, an irish woman established in Montreal for the past 6 years, a girl with yugoslavian roots, a pure English guy from the city and myself. As we were walking together and they were talking, I began regretting being part of the team., I then said to myself that the only way to get out of this soon was to consume rapidly, once arrived in the bar, and pretend having an appointment to leave after a large 30 minutes.
    But then, we sat, ordered our meals, and talked... And, in fact, it was fun to meet this people I had just crossed quickly during almost 2 months. Fun to go beyond my English speaking shyness too. Fun to get to learn about this people, why they attended such a course, what they were doing etc.
    It finally ended nicely and lightly this heavy cloudy day. Ruth, the irish woman dropped me to a metro station and when I got back to the surface, it was dramatically raining. Precocious as I became, I fortunatly got my umbrella, but still had the wrong shoes : my sandals suffered once more as they sunk in puddles.