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Le quotidien, petit et grand - Page 17

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    As sympathetic as unexpected

    Today was our tenth and last News and Feature writing lecture. While I walked down the street towards the metro station, I catched up on the street with 3 other students. As I greeted them, one asked if I would join the team to have a drink, and I heard myself answering "why not ?". I hardly knew them since this course was the only one I attended this semester and since the atmosphere didn't much help meeting. So there we met, after our last class, an irish woman established in Montreal for the past 6 years, a girl with yugoslavian roots, a pure English guy from the city and myself. As we were walking together and they were talking, I began regretting being part of the team., I then said to myself that the only way to get out of this soon was to consume rapidly, once arrived in the bar, and pretend having an appointment to leave after a large 30 minutes.
    But then, we sat, ordered our meals, and talked... And, in fact, it was fun to meet this people I had just crossed quickly during almost 2 months. Fun to go beyond my English speaking shyness too. Fun to get to learn about this people, why they attended such a course, what they were doing etc.
    It finally ended nicely and lightly this heavy cloudy day. Ruth, the irish woman dropped me to a metro station and when I got back to the surface, it was dramatically raining. Precocious as I became, I fortunatly got my umbrella, but still had the wrong shoes : my sandals suffered once more as they sunk in puddles.

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    3 jours, 3 films

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    Trois films sur le foot en trois jours... C'est un record pour moi, mais la semaine n'est pas terminée. Après avoir visionné "Le miracle de Berne", une fiction sur la victoire allemande en coupe du monde de 1954, ce sont deux films du réalisateur Jean-Christophe Rosé (un français venu à Montréal à l'occasion de La Lucarne qui inaugure ses premieres rencontres de ciné et de sport) que j'ai découvert hier soir. Il présentait un film sur Maradona et un document plus historique sur fond de rideau de fer, autour de l'équipe en or de Hongrie dans les années 50. Jamais je ne me serais aussi bien préparée à suivre la coupe du monde! Et à voir ces dieux du stade et à entendre s'enflammer les mordus, la piqûre n'est pas loin, même si elle ne dure qu'un temps !
    Sur les rencontres, voir lalucarne.ca

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    Garage sale

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    La vente de garage, traduction littérale de Garage sale, est une activité prisée par de nombreux québécois (appréciée aussi au delà des frontières de la province et du pays aussi d'ailleurs.) Lorsque le temps est clément, la vente, organisée par des particuliers pour se débarrasser d'objets devenus inutiles, se passe dehors, devant l'appartement, l'immeuble ou la maison. Hier, malheureusement, il ne faisait pas beau du tout.
    En cette bien maussade journée printanière donc, je faisais, comme beaucoup de québécois, le tour des ventes de garages. Les mieux organisés annoncent la vente dans le journal et installent des panneaux près de chez eux pour attirer le passant. Dans la région de Hudson, à l'ouest de l'île de Montréal, il y a de nombreuses résidences huppées et si on aime bien fouiner, parfois dans la poussière parfois dans l'humidité, on peut dénicher de vrais trésors.
    Pour tous les goûts : du kitsch le plus royal à la plus somptueuse des antiquités méconnue. Il y en a aussi pour tous les prix, bien que l'ensemble soit raisonnable. On peut discuter, négocier, évaluer, et même repartir avec des objets donnés. J'étais en bonne compagnie, emportée par la voiture de Nancy, l'experte au coup d'oeil critique et au coup de main subtil, et c'est munie de deux couteaux de cuisine et d'un roman paru récemment que je suis finalement rentrée.
    Je crois bien que l'une des dernières fois où nous avions fait des ventes de garage en famille, nous vivions à Sherbrooke. Avec nos petites tirelires d'enfants, nous étions parvenus à dégotter ce qui, à l'époque, nous était apparu si précieux, (et qui a dû finalement passer plus de temps au fond d'un placard que sur nos étagères) : deux horribles pierrot, comme deux jumeaux, dont la tête, les mains et les pieds étaient en une espèce de porcelaine et le reste du corps mou. Je crois que nous étions fières de notre trouvaille, et surtout d'avoir réussi à négocier un rabais puisque l'un était presque amputé d'un bras, et que l'autre avait une des jambe plus courte !